Ce blog, dont le titre fleuri évoque l'enthousiasme timide de mon père (ce héros au regard si doux) vis à vis de ma passion toujours plus vive pour ce formidable média qu'est le jeu vidéo en rentrant le soir, vise principalement à promouvoir votre serviteur sur le plan professionnel, et sera, en plus des classiques CV, portfolio, etc ... le lieu de la publication de tests et dossiers sur les jeux que j'aime ou que j'ai aimés.

dimanche 7 août 2011

MMômes : Monkey Quest

Ook ! Monkey Quest est un jeu développé par Nickelodeon, tout comme PetPet Park. Il est en revanche très différent des jeux précédemment cités dans cette suite de tests, de par l’orientation de son gameplay : Monkey Quest est en effet un jeu d’action/plateformes multi-joueurs en 2D vue de côté, bien que sa réalisation, assez fine par ailleurs pour un jeu intégré à un navigateur web, soit en 3D intégrale.

Monkey Quest s’adresse de manière assez évidente à une cible sensiblement plus âgée que Pet Pet Park par exemple, en raison des mouvements, réflexes et coordination nécessaires à son utilisation. Les joueurs incarnent un petit singe aussi mignon que brave, qui va devoir, au fil de nombreuses quêtes réalisées seul ou à plusieurs, sauver leur monde de primates d’un terrible cataclysme.

L’orientation particulière de Monkey quest, qui met le « jeu » comme attrait principal apporte un équilibre particulier et permet d’obtenir un jeu véritablement « multi-joueurs », bien plus en tous cas que les jeux précédemment évoqués.



MMômes : PetPet Park

Pet Pet Park est un jeu beaucoup plus récent réalisé par Nickelodeon Virtual Worlds, et une excellente synthèse du meilleur des jeux précédemment cités. Un environnement vaste en constante expansion, un large choix de personnalisation pour l’avatar, réalisation impeccable, activités et jeux variés, nombreux et intéressants, ainsi qu’un jeu « hors abonnement » qui reste intéressant même à moyen voire à long terme.

MMômes : Nooja

Le très « musical » Nooja plonge les joueurs dans un univers très différent des jeux précédents, gouverné par le rythme et la musique. Le joueur compose son avatar à partir de l’une des 3 « races » du jeu, et peut ensuite en personnaliser quelques éléments. A l’instar de Club Penguin, les avatars évoluent dans un environnement dans lequel ils peuvent déclencher des activités, et interagir avec des amis. La vraie différence de Nooja, outre son parti pris « musical », c’est l’introduction du concept d’utilité des items que porte l’avatar. En effet, l’essentiel de la boucle de gameplay de Nooja consiste à enchainer les activités pour acheter des « items » dont les caractéristiques pourront donner au joueur l’accès à de plus nombreuses activités, etc. Un virage assez unique pour ce genre de jeu, qui le rapproche des jeux MMOs plus classiques et destinés à une cible plus âgée.


MMômes : Ma Bimbo

Dans un tout autre genre que les deux jeux précédents (jeu php), Ma Bimbo offre à la jeune joueuse (car la cible en est clairement féminine) la possibilité de se projeter dans la peau d’une belle jeune femme, d’en faire grandir la réputation, la garde robe, et devenir une vraie fashion victim.



MMômes : Panfu

J’ai testé, il y a quelques semaines de cela, un petit panel de MMOs pour enfants. Après Club Penguin, voici le test d'un concurrent direct : Panfu.

Vous l’aurez deviné, Panfu est aux pandas ce que le Club précédemment cité est aux penguins. Si Panfu offre un bien plus grand nombre d’activités / espaces de jeux en théorie, on voit très rapidement que la réalisation n’est pas là, et que la qualité des jeux en elle-même est assez médiocre. En revanche, le joueur est bien mieux guidé ici, par une suite de « quêtes » qui lui montrent les possibilités du jeu, créent du contenu, et maintiennent le joueur dans l’environnement, le temps que ce dernier opte pour l’abonnement.



MMômes : Club Penguin

J’ai testé, il y a quelques semaines de cela, un petit panel de MMOs pour enfants. Vous trouverez dans les messages qui suivent ma petite analyse de chacun d’entre eux.

Ces jeux obéissent bien souvent aux mêmes règles : un environnement libre dans lequel les joueurs évoluent par le biais d’avatars personnalisables, et dans lequel ils peuvent passer du temps avec leurs amis autour de mini-jeux ou activités diverses.

Les modèles économiques se ressemblent souvent aussi, offrant un accès limité non pas dans le temps mais dans le contenu aux joueurs non-abonnés », afin de mieux les appâter dans le temps.



Premier test : Pac Man Vs

Présenté à l’E3 2003 par Nintendo pour illustrer la connectivité GBA, Pac Man VS est ensuite sorti sur Gamecube dans la plus grande indifférence, car vendu en disque additionnel avec R : Racing, I-Ninja et Pac Man World 2, des jeux sans prétention … C’est bien dommage, car quand on sait que ce petit jeu multi-joueurs a été conçu en commun par messieurs Toru Iwatani (Pac Man) et Shigeru Miyamoto (dois-je illustrer ?), on se dit que ça vaut peut être le coup d’œil … à raison.